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En effet, le programme enseigné vous permet de développer des aptitudes à la vente, pour pouvoir négocier des contrats avec des fournisseurs, ainsi que des clients, mais aussi aux strategies de fabrication des produits. Vous pourrez aussi trouver les résultats après leur publication sur le website de l’Éducation nationale et des examens agricoles. Son rôle est de convaincre les clients d’acheter ses produits en argumentant habilement. Ces solutions améliorent l’acceptabilité des EnR par la société, surtout quand des financements participatifs permettent des retombés économiques pour les territoires.
Le bois est un matériau devenu stratégique par son caractère renouvelable, recyclable et sa contribution à la lutte contre les changements climatiques. L’architecture et le design contemporain, l’aménagement des espaces de vie, découvrent chaque jour de nouvelles vertus à ce matériau aux caractéristiques étonnantes de modernité́. Le Centre d’Études Forestières et Agricoles, CEFA, suggest des formations aux métiers du bois de la forêt et de l’environnement.
Le « verdissement », ou « paiement vert », veille à l’observation de trois mesures environnementales (le maintien des prairies permanentes, la diversité des assolements et le maintien ou la création de surfaces d’intérêt écologique-SIE). S’agissant du 2e pilier, la promotion de la safety de l’environnement et du développement durable des territoires ruraux font l’objet de mesures de soutien. Le soleil a toujours constitué pour le monde agricole un apport gratuit d’énergie pour faire pousser les plantes mais aussi faire sécher le foin, le tabac ou le bois. Le chauffage au bois-bûche a constitué partout la principale source de chaleur jusqu’à ce que le charbon le remplace au 19esiècle. Ici, la jeunesse rurale n’est pas condamnée à la reprise de l’exploitation familiale, entre matinée de chasse, ardour pour les tracteurs et culte du travail. Aussi appelé gestionnaire forestier, le technicien forestier participe à la bonne gestion des forêts et des espaces boisés.
Il n’y a pas d’autre grande différence entre les agriculteurs qui ont investi dans ces EnR et ceux qui ne l’ont pas fait. Si l’intervention d’entreprises externes peut avoir des avantages considérables pour les agriculteurs (moins d’endettement, prise en cost des autorisations et des raccordements…), ces derniers se montrent réservés voire hostiles à l’intervention d’acteurs tiers. Au niveau microéconomique, les EnR représentent souvent des investissements élevés pour les exploitants agricoles, avec une rentabilité économique inégale et incertaine, qui ne se confirme qu’après plusieurs années.
Le terme d’« acceptabilité sociale » est largement employé et sera utilisé dans le présent rapport, même s’il est vrai que les sciences sociales peuvent parfois se montrer réservées sur l’usage de cette notion qui peut apparaître peu respectueuse des acteurs qui n’auraient qu’à accepter les innovations technologiques et les évolutions économiques. Il n’est pas utilisé ici avec cette connotation et s’apparente plutôt au idea de notion, constructive ou négative, des différents modes de production d’énergie de la half des populations concernées. Transition climatique par le stockage du carbone dans les sols par la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Le design to price, l’intégration énergétique et le génie industriel sont des approches essentielles au développement de options de petite méthanisation efficientes, robustes et viables.
En effet, l’ACV peut se réaliser « du puits au réservoir », dans laquelle l’unité de mesure utilisée est le g CO2eq/kWh, ou elle peut être réalisée « du puits à la roue », dans laquelle l’unité de mesure utilisée peut être le g CO2 eq/kWh, à l’instar de ce que fait l’Ademe, ou encore le g CO2/km, à l’instar des pratiques de General Motors ou Concawe. Enfin, les biocarburants n’ont pas strictement la même empreinte carbone selon les ressources utilisées (blé, betterave, colza, tournesol…), et les émissions de GES peuvent aller du simple au double selon la matière première utilisée. Le schéma ci-après sur l’influence environnemental des énergies renouvelables utilise l’approche ACV et témoigne de l’importance de l’amont et de l’aval dans les étapes du cycle de vie d’un produit ou d’une énergie. Des filières sont toutefois en cours de développement à partir de sucres, amidons, lipides ou de matière lignocellulosique.