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Les paperwork présentés ci-dessous sont issus des travaux des établissements réunis à l’event d’une session de formation animée par l’inspection de l’enseignement agricole et l’IFEAP. Ils constituent un relevé des échanges de pratiques et proposent des pistes validées par l’inspection de l’enseignement agricole pour la mise en oeuvre de l’évaluation des capacités professionnelles et de la formation correspondante. « Dans chaque département, existe un Point accueil data », explique Valérie Laborde, conseillère set up pour la chambre de l’agriculture de l’Isère. « Ils accueillent tous les porteurs de projets, informent sur l’emploi, les formations, orientent vers les personnes ou buildings ressources.
L’employé agricole est par nature une personne polyvalente qui doit s’adapter aux nombreux domaines de l’agriculture dans lesquels il/elle est amené à pouvoir exercer et évoluer. Il/elle doit veiller à leur entretien et procéder, le cas échéant, aux réparations et à la maintenance de premier niveau. Il /elle participe également à l’entretien général des bâtiments de l’exploitation.
Il peut se faire par voie scolaire avec la mise en place de période d’immersion en entreprise d’une durée moyenne de 22 semaines réparties sur deux ans. Il peut également s’effectuer par la voie de l’apprentissage avec la mise en place d’une alternance et d’un contrat d’apprentissage ou de professionnalisation. Dans le secteur des productions animales, l’ouvrier assure des activités liées à la conduite d’un ou plusieurs élevages. Celles-ci concernent essentiellement l’alimentation, le suivi de la copy et de l’état sanitaire ainsi que les interventions qui s’y rapportent. En élevage laitier bovin, ovin et caprin, il est amené à réaliser la traite deux fois par jour.
Il peut être amené à travailler sur les marchés export le plus souvent en back-office, c’est-à-dire sans contact direct avec la clientèle. L’agriculture biologique, par exemple, implique de recourir à deux fois plus de main-d’œuvre que l’agriculture conventionnelle. L’Isère totalise aujourd’hui 600 exploitations en bio , tandis que forty five % des installations d’agriculteurs se font dans le bio. Et le développement des applied sciences favorise l’émergence de nouveaux métiers, donc de nouveaux débouchés pour les jeunes. Les femmes représentent désormais un peu moins d’un quart des cooks d’exploitation ou d’entreprise agricole en 2016.